Le célèbre horloger-joaillier Cartier a présenté la semaine dernière à La Chaux-de-Fond en Suisse, sa toute dernière création : l’ID-One.

Louis Vuitton se lance dans la haute joaillerie avec une collection intitulée “l’Âme du voyage”, dont certaines pièces atteignent 2,5 millions d’euros.

Signée Lorenz Bäumer (ancien designer de la joaillerie pour Chanel et Baccarat), elle incarne l’art du voyage au travers de l’histoire depuis 1854.

Les deux coupes de diamants, taillés en fleurs à l’image du célèbre monogramme, et les souvenirs de voyages sont le fil conducteur de la collection.

Message brouillé, erreur de casting ou gigantesque opération de com’ dans un pays devenu la nouvelle cible du marché du luxe ?

Nombre de disciples s’interrogent sur l’opportunité de lancer une édition limitée de stylos à 25 000 dollars pièce pour honorer la mémoire de Gandhi.

C’est pourtant ce que vient de faire en Inde la marque de luxe Montblanc à l’occasion du 140e anniversaire de la naissance du Mahatma, le 2 octobre.

La maison Dubail, l’un des plus prestigieux horlogers parisiens, présente la Tourbograph « Pour le Mérite »,

Il s’agit d’une pièce unique commandée à la manufacture saxonne A. Lange & Söhne ; la pièce la plus précieuse probablement jamais réalisée par la marque.

D’une valeur de 1,2 million d’euros elle est intégralement sertie de diamants (40,6 carats) et a demandé deux ans de réalisation !

Pour la première fois depuis sa disparition à la suite de la révolution bolchevique de 1917, la société réputée pour ses œufs en émail renaît de ses cendres.

Inutile de les chercher dans les grandes joailleries ou les boutiques huppées : la centaine de créations n’est disponible que sur Internet.

Les bijoux sont conçus par le Français Frédéric Zaavy et leur prix varie entre 40 000 dollars (27 400 euros) et 7 millions de dollars.